Cette chaleur, ces sons aigus redondants de l’électrocardioscope qui rythment nos vies désormais. Ces mêmes sons qui nous font entendre et comprendre que tu es encore en Vie.
Ce cauchemar qui ne cesse . Cette triste mélodie quasi funèbre. Ce cauchemar sonore qui six années plus tard revient la nuit quand le silence calme mon âme.
Peut-être pour ne jamais oublier que l’a vie m’a défié, peut-être pour ne jamais oublier de ne plus perdre une seule de ces graines d’optimisme et d’espoir.
Ces graines que je tenais entre mes mains, je n’en n’ai pas fais tomber une seule.
Le terrain était ténébreux et chaotique. Il a fallut du temps pour les semer, et des pluies de larmes pour les cultiver.
Aujourd’hui elles sont devenues.
Fleurs de vie.
12 juin 2013.
Pour ne jamais oublier les épreuves qui durent depuis 6 ans, pour ne jamais oublier que nous avons frôler l’impensable, pour ne jamais oublier qu’il y a eu, qu’il y a et qu’il y aura toujours un peu de vie … malgré tout.
L’aimante